samedi 16 mars 2013

Carly Bryant sublime dans la version française de "Por que te vas"

 Interprétation magnifique, d'une simplicité parfaitement maitrisée, d'un texte plus émouvant encore que l'original espagnol. Un grand merci à la "deep thinking" auteure compositeure interprète.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=500PaDf8-FU



Avec Ani Difranco

Avec son guitarist muinto brésilien, Diogenes Baptistella







On t'a fait un monde trop petit
Pour tes idées,
Pour l’appétit de tes grands yeux écarquillés
Sur l’infini.
Tu peux être prisonnière de ta maison,
De tes parents,
De cet adulte qui te dit qu’il a raison
Et qui te ment.
Toi, tu es née pour la folie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés de rois.
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière
Pourquoi tu vis et où tu vas,
Pourquoi tu vis et où tu vas.

Tu n’as pas d’avion, ni de bateau pour t’en aller.
Les illusions qui restent sont un grand radeau
Qui va couler.
Et pourtant tu veux, de tout ton corps,
De tout ton cœur,
Briser enfin le noir et blanc de ton décor
De grandes couleurs.

Toi, tu es née pour la folie, pour la lumière
Pour des pays peuplés de rois.
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière
Pourquoi tu vis et où tu vas,
Pourquoi tu vis et où tu vas.

Toi, tu es née pour la folie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés des rois,
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière
Pourquoi tu vis et où tu vas.

Toi, tu es née pour la folie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés de rois,
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière
Pourquoi tu vis et où tu vas,
Pourquoi tu vis et où tu vas.

On t'a fait un monde trop petit
Pour tes idées, pour la petite aux grands yeux écarquillés,
Sur l'infini.
Tu es prisonnière de ta maison,
De tes parents,
De cet adulte qui te dit qu'il a raison
Et qui te mens

Toi tu es née pour la vie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés de rois,
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière,
Pourquoi tu vis, et où tu vas,
Pourquoi tu vis, et où tu vas.

Tu n'as pas d'avion ni de bateau
Pour t'en aller,
Les illusions qui restent sont un grand radeau
Qui va couler
Et pourtant tu veux de tout ton corps,
De tout ton cœur,
Briser enfin le noir et blanc de ton décor,
De grandes couleurs.

Toi tu es née pour la vie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés de rois,
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière,
Pourquoi tu vis, et où tu vas,
Pourquoi tu vis, et où tu vas.

Toi tu es née pour la folie, pour la lumière,
Pour des pays peuplés de rois,
Et tu te demandes dans ta nuit de prisonnière,
Pourquoi tu vis, et où tu vas,
Pourquoi tu vis, et où tu vas,
Pourquoi tu vis, et où tu vas.

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