"l’écrivain
irakien Najem Walli (se souvient) dans une tribune libre au quotidien de gauche
Taz. J’étais à la fois fier d’être là, et inquiet de mourir un jour, comme mes
deux oncles, chez le barbier Qâsim. Finalement, ce n’est pas Qâsim qui m’a
circoncis, mais le chirurgien le plus réputé de la ville. Je m’en souviendrai
toute ma vie… Mon père m’avait dit que je serais anesthésié. Il n’y a pas eu
d’anesthésie. Ce n’était pas une circoncision. Ça a été ma première rencontre
avec la torture."
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